La bonne intégration professionnelle des générations Y et Z, un vrai sujet d’attention pour les entreprises !

Depuis deux ans, Cécile de Galzain, ancienne chargée d’études de marché et mère de quatre « Génération Z », s’intéresse aux problématiques rencontrées par l’entreprise dans la bonne intégration des jeunes et à ce qui en fait le succès ou l’échec. Après plus de 130 entretiens avec des entreprises de toutes tailles et de tous secteurs, elle livre sans parti pris les premiers enseignements et recommandations nés de son étude riche en informations qualitatives et quantitatives et qu’elle compte traduire prochainement en outils pragmatiques à destination des entreprises et des jeunes.

Pourquoi les jeunes des générations Y et Z rencontrent-ils des problèmes pour s’intégrer ? Comment les aider ?

A l’origine, l’idée de son étude était d’aller sur le terrain interroger les chefs d’entreprise, managers et professionnels des ressources humaines pour apporter une réponse à ce constat quasi-général. Les témoignages de ses interlocuteurs permettent à Cécile de Galzain d’identifier précisément les problématiques comportementales des jeunes et les besoins des entreprises sur ce thème.

Des problèmes d’intégration des générations Y et Z. Mais aussi de belles histoires !

Mais elle entend aussi beaucoup de belles histoires de jeunes de la génération Y et Z, très bien intégrés. Leur comportement prouve qu’ils sont épanouis dans leur travail, engagés et qu’ils ont compris les modes de fonctionnement, les codes, les enjeux et les besoins de l’entreprise. De belles histoires positives quels que soient la taille de l’entreprise, le secteur d’activité ou le niveau d’études.

Alors elle décide de prendre la question à l’inverse :

Comment expliquer que des jeunes d’une génération, soi-disant « décalée » avec le monde de l’entreprise, arrivent chacun individuellement à s’intégrer de manière exemplaire ?

Comment certains arrivent à sortir du lot ? Qu’ont-ils de mieux ou moins bien et, surtout, qu’ont-ils compris de plus ? Comment des entreprises entières réussissent à n’avoir finalement que très peu de problématiques comportementales chez les jeunes qui débutent chez eux ?

Des « comportements professionnels indispensables », d’autres absolument rédhibitoires

L’étude démontre qu’il existe des « comportements professionnels indispensables » universels et intemporels et que certains autres sont absolument rédhibitoires.

La réussite de l’intégration, clairement un rapport donnant-donnant entre le jeune et l’entreprise pour arriver à un rapport gagnant-gagnant

C’est ce que l’étude de Cécile de Galzain met précisément en lumière. Ceci signifie que l’intégration positive du jeune nécessite une réflexion, des choix et un engagement de la part des deux parties avant même la phase de recrutement.

Réflexion, choix et engagements partagés

Il apparaît aussi nettement que la sensibilisation des jeunes sur ce sujet serait bénéfique dès leurs études et donc avant l’arrivée dans l’entreprise.

Les solutions pour intégrer le plus grand nombre existent

Cécile de Galzain souligne qu’il existe des leviers d’action pour aider les jeunes à comprendre comment s’intégrer de manière épanouissante dans l’entreprise et qu’il existe des pistes d’actions pour aider chefs d’entreprise, managers et responsables RH à comprendre comment « réduire » les problématiques comportementales chez les jeunes.

Comprendre comment réduire les problématiques comportementales

Dans un esprit de transmission et de contribution et afin de donner une suite pragmatique à son étude, Cécile de Galzain construit actuellement des outils qui permettront aux entreprises d’exploiter ces leviers et aux jeunes de mieux comprendre leurs propres enjeux et ceux de leur entreprise.